LE LUCIFER EFFECT DE JEFFREY A MULHOUSE


 Jeffrey est un Anglais, chef d'une équipe de psychiatres et de docteurs en psychologie, qui a décidé de faire du zam massif son métier.

Le mot ZAM est devenu un mot usuel dans le cadre de ces enquêtes menées par nous: BIiA Pozemjin-Roh [Baahrah Intelligency info Agency].

ZAM est l'acronyme de Zimbardo Asch et Milgram.
Rappelons l'expérience de Stanford menée par Philip Zimbardo qui a entraîné le Lucifer Effect "et les gentilles personnes deviennent des démons." Jeffrey a repris cette expérience dans sa clinique et en a fait un process sur 3 ans. Précisons que Zimbardo n'avait pas mentionné l'utilisation du cocktail de pilules que nous appelons Tintenkiller. Il ne mentionne pas non plus le robot qui déploie le programme 24h sur 24 puisque le manque de sommeil est l'une des meilleures façon de mettre des personnes sous emprise. La table de mixage est l'outil de prédilection de Cynthia de Mascot-Minerva le réseau d'un système judiciaire que nous dénonçons. Les voix sont utilisées pour pouvoir ensuite se faire passer pour une star par exemple, une personne intéressante ou la personne Kado comme Sylvie = Kickers = Testud dans leur réseau. Il y a la narrative voice: celle qui raconte et décrit tout le temps ce que ces gens ne vont jamais vivre ou font semblant de vivre. Il y a d'autres voix: Sado, Malo, Dolo... Joël de Clivo a eu un choc hier de comprendre que ce qu'il imitait n'était qu'un robot dans la salle des Klappersteins: "mais moi je dors que 2 heures par jour, je mange mal et j'ai du mal à tenir debout. Je savais pas que c'était infaisable si on n'était pas un robot." 

Une femme témoigne: "on nous a présenté un homme de loin et nous voulions toutes aller jusqu'au bout du process parce que chacune voulait se marier avec lui. OUI MAIS, cet homme extraordinaire, beau, très intelligent, très cultivé, très attirant...était un robot avec une belle voix de synthèse!"

Selon Wikipedia:

L’expérience de Stanford (parfois surnommée effet Lucifer) est une étude de psychologie sociale menée par Philip Zimbardo en 1971 sur les effets de la situation carcérale, ayant eu un très grand écho social et médiatique.

Elle fut réalisée avec des étudiants qui jouaient des rôles de gardiens et de prisonniers. Elle visait à étudier le comportement de personnes ordinaires dans un tel contexte et eut pour effet de montrer que c'était la situation plutôt que la personnalité autoritaire des participants qui était à l'origine de comportements parfois à l'opposé des valeurs professées par les participants avant le début de l'étude. Les 18 sujets avaient été sélectionnés pour leur stabilité et leur maturité, et leurs rôles respectifs de gardiens ou de prisonniers leur avaient été assignés ostensiblement aléatoirement. En d'autres termes, chaque participant savait que l'attribution des rôles n'était que le simple fruit du hasard et non pas de prédispositions psychologiques ou physiques quelconques. Un gardien aurait très bien pu être prisonnier, et vice-versa.

Les prisonniers et les gardes se sont rapidement adaptés aux rôles qu'on leur avait assignés, dépassant les limites de ce qui avait été prévu et conduisant à des situations réellement dangereuses et psychologiquement dommageables. L'une des conclusions de l'étude est qu'un tiers des gardiens fit preuve de comportements sadiques, tandis que de nombreux prisonniers furent traumatisés émotionnellement, deux d'entre eux ayant même dû être retirés de l'expérience avant la fin.

Malgré la dégradation des conditions et la perte de contrôle de l'expérience, une seule personne (Christina Maslach) parmi les cinquante participants directs et indirects de l'étude s'opposa à la poursuite de l'expérience pour des raisons morales. C'est grâce à celle-ci que le professeur Zimbardo prit conscience de la situation et fit arrêter l'expérience au bout de six jours, au lieu des deux semaines initialement prévues1.

Les problèmes éthiques soulevés par cette expérience la rapprochent de l'expérience de Milgram, menée en 1963 à l'Université Yale par Stanley Milgram.