LETTRE AU PROCUREUR N°6 : COACH ACADÉMIE, LE CANARD ENCHAÎNÉ ET LA FIOLE ICARE
Monsieur le Procureur,
Je dois encore parler de Coach Académie. Ce centre de formation propose effectivement des formations de coaching mais l’enquête démontre qu’ils avaient eux aussi une première offre, une deuxième offre et même une troisième offre. Je le jure devant Dieu et sur l’honneur que je ne le savais pas. Je ne souscris pas du tout à tout ça. Je ne savais pas qu’il y avait finalement 3 Coach Académies !
La plateforme de ventes est gérée par Maréchal, le
Québec, Galla le réseau Corse qui travaille avec Kalla Maroc. Des Call-centers
sont implantés à Paris, Biarritz, Montréal, Casablanca mais ils n’ont pas l’air
de le savoir. En effet, comme Chiara Pirotta de Casal, il est possible d’ouvrir
un petit compte dans un call-center pour démarcher les clients pendant 1
an : vendre le produit, vendre les services et vendre la plateforme
d’échanges circulaires (PEC) = commandes par mails internes uniquement. Coût de
la prestation au Maroc : 20 000 EUR mais attention il faut ensuite
payer 30 000 EUR les frais de clôture. Le call-center se substitue alors
au commercial qui décrit pendant 1 mois son travail.]
Je me souviens, qu’un jour Sylvie Baille avait raconté un fait divers : « surtout ne faites pas comme cette coach qui avait recommandé à ses clients un produits « à base de plantes » pour les détendre avant la séance de coaching. On a eu peur du scandale, qu’elle dise qu’elle avait été formée par Coach Académie ». Le Samu avait été appelé après l’ingestion du produit en question : un liquide bleu. Cette coach a été retrouvée dans un réseau : elle parlait comme Cynthia de Jomo en Suisse qui imitait Caroline et Sandra restées 6 ans au Québec. Encore une fois, pourquoi est-ce qu’on ne nous a pas protégés de ces entreprises qui regardent nos comptes bancaires, qui nous ajoutent à leurs fichiers, qui nous font suivre et ensuite nous zamment si on se pose des questions ? En ce qui me concerne, j’avais dit : « pourquoi est-ce qu’on n’a pas eu la formation sur la convention tripartite, pour les contrats d’accompagnement en entreprise ? On s’est formé pour exercer un nouveau métier mais il aurait fallu pouvoir obtenir des contrats en entreprise pour pouvoir en vivre, ce qui est en soi le supplice de Sisyphe. »
Je précise, qu’à aucun moment, Sylvie Baille ou Jean-Pierre Roy n’ont fait la promotion de la plateforme de ventes. Ils n’en ont jamais parlé. Cela se passait dans les coulisses. Charles parle de sessions spéciales au téléphone d’abord et des sessions juste après le séminaire [3 jours à Paris pour les vrais clients et 1 jour en plus pour les autres]. Je comprends maintenant pourquoi 90% d’entre eux ne se laissaient pas coacher. Le dispositif pédagogique de Coach Académie prévoyait des périodes ou les stagiaires devaient s’exercer au coaching en étant tantôt le client tantôt le coach. C’était lourd, ne passaient pas à l’action, esquivaient les questions… Mais Jean-Pierre nous insistait pour proposer des problématiques avec enjeux, que c’était important de considérer ce travail comme la partie essentielle de la formation. Ils ne leur avaient pas demandé d’être passifs. Le formation en elle-même était sérieuse. MAIS, les sessions se passaient pas Skype et j’étais bouche bée de comprendre que des stagiaires comme Michèle Fattal n’était pas seul dans la pièce pendant nos co-coaching. On ne le savait pas. Elle pensait peut-être faire comme Radia qui le faisait sur le conseil d’un ami pour écouter finalement deux fois la session.
Par contre, on assistait parfois à des recadrages musclés par des allusions de la part de Jean-Pierre ou Sylvie :
« C’est génial, j’ai la forme, je fais plein de choses rapidement, je me sens toujours de bonne humeur ! » Mais un jour, une de ses clientes a appelé le SAMU elle était chez elle. Elle avait fait un infarctus du myocarde mais elle s’en est vite remise. Elle avait remis le produit à son médecin qui ne voyait pas du tout ce que c’était même après analyse. La cliente, qui n’est restée que 3 jours à l’hôpital, avait appelé Linda juste après : « qu’est-ce que vous m’avez donné, j’ai failli mourir… ». Linda en a pleuré et a décidé de changer de numéro de téléphone. Ce produit est vendu à domicile par le biais d’une vaste organisation, comme les produits Gémako.
Etre coaché par Michèle Fattal c’est aussi grave que d’être coaché par Sylvie Baille [Affaire Valérie Loison] ou Jean-Pierre Roy qui a provoqué la mort d’une femme. Ce n’est pas un suicide mais Valérie a provoqué la colère d’un homme qui a commis l’irréparable. Mais elle ne s’appelait pas Valérie mais Ines coachée par eux sur le PARO. Ines travaillait dans le Journal le Canard Enchaîné puis à la Radio France Culture Mulhouse. Ines savait pour l’énorme erreur commise par les Média sur le Corona annoncé avant la lettre. Le virus n’étant pas encore descendu. Rappelons qu’il n’y a pas de virus.Corona = la pilule Cobalco pour la catégorie XXXXX mais il y a eu INVERSE. Et aujourd’hui, le protocole Corona se déroule encore : le PASS Sanitaire dans les grandes bibliothèques par exemple nous montre ce qu’est l’absurdité du vide du système. Il faut se vacciner (Vaccin Chinois ou Russe peut –être Cobalco) et toujours porter le masque. Les chiens n’entrent pas ouf mais les bébés si en sont en sont dispensés puisqu’ils ne sont jamais porteur d’un virus. Cela ne peut pas arriver, c’est ça ? Mais dormons à la bibliothèque puisque dans les autres lieux publiques on pourrait être contaminés… Rappelons que le nombre de tatoués augmente à Mulhouse… Sont- ils arrivés ? C’est peut-être le moment d’annoncer le Corona…Mais c’est déjà fait par Rockladi : 700 000 morts en Allemagne. Les hôpitaux n’ont pas accepté Cobalco et encore moins le COVO. Le Docteur Simonet le sait.
NB : nous ne procédons pas à la relecture du document pour ne pas altérer l’authenticité de nos réponses. Veuillez nous en excuser.